Des constats assez simple à formuler : une inéquation entre les offres d’emplois inscrites dans les différentes ressources (Pôle Emploi, Le Bon Coin...) et les demandeurs d’emplois ; la destruction des emplois dans l’industrie n’a été que très partiellement compensée ; le niveau de qualification globale des individus de notre société.
Plusieurs constats : des conditions d’étude dégradées par les effectifs des classe et les fermetures d’écoles, les conditions de travail dans les établissements scolaires se sont dégradées d’abord par la multiplication des missions, la multiplication des plans de réformes et une crise du recrutement… ; le lien avec le savoir s’est affaibli ; les rapports des enseignants avec les familles et l’institution sont devenus conflictuels ; une vision minimaliste et utilitariste des compétences ; les conditions sociales des élèves de plus en plus en sérieuses et profondes dégradations.
L’idée de transition dans le domaine culturelle s’appuie en réalité sur quatre axes : les expériences et les pratiques culturelles pour les populations des territoires, l’accès à la culture de tous les publics, faire de la culture un moyen qui touche à la fois la sensibilité et la raison de chacun et enfin comprendre que la culture est vectrice de valeurs comme la tolérance, la solidarité…
Plusieurs exemples de réflexion à mener :
Notre territoire est riche de ses écoles, notamment spécialisées (Lycée Friant, Enilbio…).
La richesse du tissu associatif dans les domaines de l’éducation populaire, de la culture, de son accès au plus grand nombre dans tous les âges de la vie (Mi-Scène, La Montaine, La Séquanaise…) sont des atouts pour un développement harmonieux et ouvert à tous de notre territoire.